AAMO, rappeur suisse originaire de Genève, s'est d'abord fait connaître au sein du collectif NGC 1976. En collaboration avec $CO, il a marqué l'année 2021 avec deux projets influencés par la scène de Detroit. Son single "SML" et son premier projet solo, "Sur Ma Lancée", ont rapidement dépassé le million de streams en 2022, propulsant AAMO sur le devant de la scène musicale.
En mars 2023, AAMO a réalisé un freestyle remarqué en collaboration avec le média Raplume, renforçant sa notoriété et attirant de nouvelles audiences. Il collabore ensuite avec des artistes éminents tels que Yvnnis et Arsaphe, recevant des éloges de la part des médias underground et participant aux Ardentes et au Grunt Festival dans le cadre de sa tournée en Suisse et en France. En juin 2023, il sort LAKEHOUSE SEASON, son deuxième projet solo, où il explore des sonorités afro et des éléments chantés, aux côtés de Slimka, Yvnnis et Sonny Rave.

En 2024, AAMO confirme son statut d'artiste polyvalent avec la sortie de son projet Charbonner ou Prier en mars, où il se distingue avec des titres percutants comme "Dans l'Trap" et "Charbonner ou Prier". Ce projet, salué pour son authenticité et sa profondeur, le positionne comme une figure montante incontournable de la scène rap francophone.

2025 s'annonce également décisive pour AAMO, avec la sortie de son prochain EP SIGNAATURE le 13 juin, qui promet de consolider sa place dans le paysage musical tout en montrant une nouvelle facette de son univers artistique.

Révélé dans la dernière saison de The Voice, César est un auteur-compositeur habité, qui écrit comme il vit : avec sincérité. Son univers musical, à la croisée de la chanson française et des sonorités urbaines, s'ancre dans ses racines corses et kabyles, et puise sa force dans l'authenticité du quotidien.
Ses textes racontent les espoirs, les luttes, les renaissances - autant de vérités brutes portées par une voix marquée, révélatrice d'une sensibilité assumée. Nourri par l'héritage de figures comme Boris Vian, Albert Camus ou Charles Aznavour, César cherche la poésie non pas dans l'évasion, mais dans la réalité : celle d'un homme qui tient, malgré les coups, en quête de sens.

À fleur de peau, sa présence sur scène comme en studio bouleverse par sa justesse. César ne triche pas. Il livre ses combats intérieurs avec pudeur, porté par une urgence de créer et une profonde humanité. Une voix libre, vagabonde, ancrée dans le réel mais tournée vers l'ailleurs.

Alex Montembault mêle la douceur d'une voix singulière à des mélodies sensibles et ciselées. Formé au jazz, bercé par la chanson française et passionné de rock-prog des années 70, il compose des morceaux intimes et lumineux. Révélé dans Starmania où il incarnait Marie-Jeanne, il revient avec un répertoire personnel, à la fois pudique et bouleversant. Entre guitare, piano et mots choisis, Alex chante l'identité, la famille, les silences - avec émotion, sans détour. À découvrir sur scène, pour la première fois en solo.

« C'est du jazz mais c'est marrant », prévient Flore Benguigui. Sur scène, cette phrase devient manifeste : ici, le jazz n'est pas une affaire de posture ni d'érudition, mais un terrain de jeu collectif et jubilatoire, où les accidents sont les bienvenus. Le but : démanteler d'emblée nos aprioris sur une musique bien trop souvent considérée comme élitiste et faire des ponts entre les époques - c'est du jazz des années 30, oui, mais raconté au présent, twisté avec des sonorités nouvelles et une jubilation manifeste.

Avec ses complices de toujours - Pierre-François Maurin (contrebasse), Charles Tois (piano) et Maxime Mary (batterie) mais aussi avec beaucoup d'invitées spéciales impromptues - car l'esprit de l'improvisation n'est jamais bien loin ! - Flore et sa joyeuse clique font de chaque concert une expérience à la fois libre, drôle et pédagogique.

Après des années à chanter dans le groupe L'Impératrice, elle revient à son premier amour : le jazz qu'elle écoutait adolescente et qu'elle n'a cessé de jouer et de célébrer dans le club parisien le Baiser Salé où elle a eu une résidence pendant ces 11 dernières années, ce jazz des années 30 mélangé aux synthés analogiques des années 70.

Chaque concert devient un laboratoire d'émotion collective, un endroit où l'on vient autant pour écouter que pour partager. Parce qu'au fond, ce que Flore célèbre, c'est moins un style qu'un esprit : celui d'une musique joyeuse, mouvante, vivante.

Alex Montembault mêle la douceur d'une voix singulière à des mélodies sensibles et ciselées. Formé au jazz, bercé par la chanson française et passionné de rock-prog des années 70, il compose des morceaux intimes et lumineux. Révélé dans Starmania où il incarnait Marie-Jeanne, il revient avec un répertoire personnel, à la fois pudique et bouleversant. Entre guitare, piano et mots choisis, Alex chante l'identité, la famille, les silences - avec émotion, sans détour. À découvrir sur scène, pour la première fois en solo.