Grâce à son humour toujours aiguisé, son autodérision Booder vous donne son ressenti de la vie dans cette " société de beaux gosses ".

Après le succès ses rôles au cinéma dans " Neuilly sa mère " 1 et 2 et " beur sur la ville " et après le carton de sa pièce de théâtre " la grande évasion ", Booder revient à ses premiers amours : le one man show, pour notre plus grand plaisir… Son expérience dans le domaine artistique, ses rencontres, son fils, son Pays d'origine, tout y passe.

Partie intégrante du Théâtre du Capitole de Toulouse depuis sa fondation au milieu du XVIIIe siècle, le chœur est aujourd'hui formé de 45 artistes permanents auxquels s'ajoutent régulièrement des choristes supplémentaires et des solistes de premier plan.

De la saison lyrique aux concerts de l'Orchestre national du Capitole, en passant par ses participations aux festivals de renoms et autres projets d'envergure, le chœur du Capitole explore un vaste répertoire couvrant toutes les périodes, formes et esthétiques.

Placé sous la direction d'Alfonso Caiani depuis 2009, succédant à Patrick Marie Aubert qui en avait assuré la pareille, ce dernier retrouve exceptionnellement ce chœur qu'il connait bien, le temps d'un Requiem de Gabriel Fauré, interprété dans l'église même où le compositeur fut baptisé le 13 mai 1845.

Andreea Soare, soprano
Jérôme Boutillier, baryton
Saori Sato, orgue
Chœur du Capitole
Patrick Marie Aubert, chef de chœur

Spectacle de papier plié et déplié en musique

Le Cri quotidien, c'est l'histoire d'une lectrice ordinaire perdue dans le labyrinthe des pages de son quotidien et dans les extraordinaires nouvelles de tous les jours. C'est l'histoire d'un jour où l'actualité sort de ses gonds et se donne en spectacle. S'échappant d'un très grand journal pop-up, les informations se déplient en autant de petites marionnettes de papier prêtes à cracher leur vérité, leur venin ou leur poésie au nez de la lectrice désemparée...

A la table voisine, une violoncelliste, elle aussi absorbée par la lecture d'une nouvelle partition, compose une fugue étrange qui mêle sonate classique et crissement de pneus, adagio et gloussements de poules.

Ce sont bien deux lectures parallèles qui se jouent sur le plateau, deux bruyantes solitudes qui ne se croisent que par hasard ou par magie. C'est drôle, c'est triste, c'est un journal.

Mise en page, mise en pli : Brice BERTHOUD
Jeu et construction du livre : Camille TROUVE
Musique : Sandrine LEFEBVRE

1er partie : " A mains nues"
Nouvelle création de Faizal Zeghoudi pour deux danseurs.

2ème partie : "Le sacre du Printemps ou le Cri de l'Indépendance"
Suscitant à l'époque de sa création en 1913 une grande controverse, le Sacre du printemps est considéré comme un des manifestes de la danse contemporaine.
L'argument est celui d'un rituel sacral païen de l'ancienne Russie : une jeune fille est choisie pour danser jusqu'à la mort et permettre ainsi à la terre de renaître au printemps.

Une troupe « métissée » de danseurs français et colombiens, une chorégraphie combative et terrienne où la rudesse des agrégats harmoniques illustre le thème du sacrifice et de la lutte. Des danseurs qui s'affrontent et se recherchent avec une folle énergie vers un final foudroyant, moment de rage et de pure beauté.

CHORÉGRAPHIE & MISE EN SCÈNE / Faizal ZEGHOUDI
TEXTE ORIGINAL / Fabio RUBIANO
ASSISTANT CHORÉGRAPHIE / Ludovic ATCHY DALAMA
CRÉATION LUMIÈRE / Christophe PITOISET
OEUVRE MUSICALE / Igor STRAVINSKY.
DIRECTION TECHNIQUE / Frédéric BIANCHI

COMMANDE DE L'ACADÉMIE SUPÉRIEURE DES ARTS DE BOGOTÀ ET DU FESTIVAL IBERO AMERICANO POUR CÉLÉBRER L'INDÉPENDANCE DE LA COLOMBIE.